Bienvenue à la Galerie Dior !
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Issu d’une famille de notables normands, Christian Dior voue, dès son plus jeune âge, une passion à l’art et à la nature. Dans le jardin de sa maison d’enfance à Granville, il enrichit ses connaissances en botanique.
La villa Les Rhumbs à Granville, circa 1915.
© Collection musée Christian Dior, Granville« Quoi que vous fassiez – pour le travail ou le plaisir – faites-le avec passion ! Vivez avec passion... »
Plus tard, à Paris, Christian Dior fréquente les artistes et les intellectuels de son époque et devient galeriste à l’âge de 23 ans. La faillite de la famille Dior, au début des années 1930, le contraint à trouver une nouvelle activité. D’abord illustrateur de mode, il apprend en 1938 le métier de modéliste auprès de Robert Piguet, puis Lucien Lelong. Lorsqu’il fonde sa Maison en 1946, ses silhouettes célèbrent la joie après les temps sombres de la guerre. De 1947 à 1957, année de son décès, Monsieur Dior révolutionne les codes de l’élégance, et construit un empire au rayonnement international.
Le tailleur Bar, modèle iconique de la première collection représente pour Peter Lindbergh « l’essence parisienne ». En 2018, le photographe le saisit – ainsi que ses réinterprétations contemporaines signées Maria Grazia Chiuri – au cœur de l’effervescence des rues de New York. Ses images, qui créent un fascinant dialogue entre passé et présent, traduisent l’intemporalité du révolutionnaire New Look de 1947.
Issu d’une famille de notables normands, Christian Dior voue, dès son plus jeune âge, une passion à l’art et à la nature. Dans le jardin de sa maison d’enfance à Granville, il enrichit ses connaissances en botanique.
La villa Les Rhumbs à Granville, circa 1915.
© Collection musée Christian Dior, Granville« Quoi que vous fassiez – pour le travail ou le plaisir – faites-le avec passion ! Vivez avec passion... »
Plus tard, à Paris, Christian Dior fréquente les artistes et les intellectuels de son époque et devient galeriste à l’âge de 23 ans. La faillite de la famille Dior, au début des années 1930, le contraint à trouver une nouvelle activité. D’abord illustrateur de mode, il apprend en 1938 le métier de modéliste auprès de Robert Piguet, puis Lucien Lelong. Lorsqu’il fonde sa Maison en 1946, ses silhouettes célèbrent la joie après les temps sombres de la guerre. De 1947 à 1957, année de son décès, Monsieur Dior révolutionne les codes de l’élégance, et construit un empire au rayonnement international.
Le tailleur Bar, modèle iconique de la première collection représente pour Peter Lindbergh « l’essence parisienne ». En 2018, le photographe le saisit – ainsi que ses réinterprétations contemporaines signées Maria Grazia Chiuri – au cœur de l’effervescence des rues de New York. Ses images, qui créent un fascinant dialogue entre passé et présent, traduisent l’intemporalité du révolutionnaire New Look de 1947.
